Le volume à caractère volontairement introverti de cette maison exprime sa perméabilité à la lumière par les 4 grandes façades pignons. Constructions légères (bois et jalousies aluminium) par opposition à la construction lourde et fermée des angles. Ce sont elles qui filtrent et qualifient la lumière, qui rythment la vie intérieure, qui identifient la succession des plans intérieurs, qui rendent la vision de la toiture comme flottante.
Cet habitat explore la magie de la géométrie, des formes et des volumes fondamentaux « cercle, carré, cube et leur proportions » et cherche à expérimenter l’effet de leur harmonisation sur les petits et grands utilisateurs de ce programme.
L’effet combiné « lumière, ouvertures, perception de la succession des plans » doit révéler de lui-même le travail sur la gradation des espaces (public, privé) et qualifie les relations visuelles partout présentes dans cet ensemble.
Unité protectrice, cette maison privilégie les relations intérieures pour révéler celles de la cellule familiale et pour évoquer son intimité.